La vache Pie Noire Bretonne

C’est une race de vache très attachante, aussi emblématique que discrète. On va évoquer ici la Pie Noire Bretonne, parce que c’est la plus connue sous ce nom.


🐮 La Vache de Race Pie Noire Bretonne

🧬 Origine

  • Originaire de Bretagne, notamment des départements du Finistère et des Côtes-d’Armor.

  • C’est une des plus anciennes races françaises de vaches laitières.

  • Elle a failli disparaître dans les années 70, remplacée par des races plus « productives », mais a été sauvée par des passionnés et des éleveurs bio.

🎨 Aspect

  • Taille petite à moyenne (environ 400 à 500 kg).

  • Robe caractéristique : pie noire, c’est-à-dire blanche avec de grandes taches noires bien nettes.

  • Cornes fines, souvent recourbées.

  • Tête fine et expressive, avec des yeux vifs.

🥛 Production laitière

  • Produit moins de lait qu’une Holstein (la star des élevages intensifs), mais un lait :

    • Riche en matière grasse (parfait pour le beurre et les fromages)

    • Très digeste, souvent utilisé en agriculture bio ou en circuits courts.

  • Environ 3500 à 4500 litres/an, mais avec un excellent rendement fromager.

🌱 Atouts

  • Très rustique : s’adapte bien aux pâturages pauvres et au climat breton.

  • Peu exigeante, idéale pour les petits élevages, souvent en bio ou en agroécologie.

  • Longévité et fertilité naturelles.

  • Lait de qualité et valorisation locale (beurre de baratte, fromage fermier…).

❤️ Aujourd’hui

  • Environ 2 000 vaches recensées en France.

  • Protégée par un plan de sauvegarde (race menacée).

  • Souvent présente dans les éco-élevages, dans des fermes pédagogiques ou dans les exploitations tournées vers l’autonomie alimentaire.


👉 En résumé :

La Pie Noire Bretonne, c’est une vache de terroir, pas faite pour l’élevage industriel, mais parfaite pour les systèmes paysans. Elle symbolise une autre façon de faire de l’agriculture : plus locale, plus durable, plus respectueuse.

                        Source ChatGPT

La centrale nucléaire de Brennilis

La centrale nucléaire EL4 de Brennilis, aussi appelée centrale des Monts d’Arrée, est un site assez unique en France, à la fois par sa technologie et par son histoire. Voici un petit tour d’horizon :

🔧 Technologie particulière

La centrale EL4 était un prototype utilisant une filière différente du nucléaire « classique » en France. Plus précisément, elle fonctionnait avec :

  • Un réacteur à eau lourde (EL = Eau Lourde)

  • Du combustible naturel (uranium non enrichi)

  • Un modérateur à eau lourde (D₂O)

  • Un refroidissement au dioxyde de carbone (CO₂)

Cette technologie était issue d’une filière française concurrente à celle qui allait finalement s’imposer (réacteurs à eau pressurisée type REP). L’idée était d’être indépendant technologiquement (et géopolitiquement).


📍 Localisation

Elle est située à Brennilis, dans les Monts d’Arrée, en plein cœur du Parc naturel régional d’Armorique, dans le Finistère. C’est un lieu assez reculé, presque poétique, ce qui rend sa présence là-bas encore plus marquante.


📅 Dates clés

  • Construction : années 1960

  • Mise en service : 1967

  • Arrêt définitif : 1985

  • Démantèlement : commencé dans les années 1990, mais encore en cours aujourd’hui (en plusieurs étapes)


🧹 Un démantèlement long et complexe

C’est l’un des premiers sites en France à être entièrement démantelé, ce qui en fait un laboratoire grandeur nature pour apprendre à gérer l’après-nucléaire.

Mais le démantèlement a été extrêmement lent et difficile, pour plusieurs raisons :

  • Complexité technique (technologie peu courante)

  • Problèmes d’accès et d’environnement

  • Enjeux politiques et sociaux

  • Opposition de certains groupes écologistes ou locaux

Encore aujourd’hui, tout n’est pas complètement fini.


🌿 Environnement et symbolique

Le site de Brennilis est devenu un symbole de la contestation antinucléaire en Bretagne. L’image d’une centrale « abandonnée au milieu de la lande » a frappé l’imaginaire.

On parle parfois de ruine industrielle moderne — un lieu à la fois technique, politique et poétique.

       D’après ChatGPT

Pourquoi tant de chapelles en Bretagne ?

La Bretagne est en effet connue pour ses innombrables chapelles, calvaires et églises, même dans les plus petits hameaux. C’est une vraie particularité de la région. Voilà pourquoi il y en a autant :


🛐 1. Une région très chrétienne, très tôt

La Bretagne a été christianisée dès le Ve siècle, surtout par des moines venus des îles britanniques (Irlande, Pays de Galles…). Ces moines, souvent considérés comme des saints, ont fondé plein d’oratoires et petites communautés.

➡️ Résultat : chaque village voulait une chapelle dédiée à son saint local (souvent un « saint breton » non reconnu par Rome).


✝️ 2. Le culte des saints locaux

En Bretagne, le culte des saints bretons est très fort. On trouve des chapelles dédiées à Saint Hervé, Sainte Anne, Saint Ronan, etc.
Souvent, on attribuait des pouvoirs de guérison à une source près de la chapelle, ou à un rituel local.

➡️ Chaque communauté voulait « son » saint protecteur → donc « sa » chapelle !


🏰 3. Une économie rurale et fière (XVe – XVIIe siècle)

Entre le XVe et le XVIIe siècle, la Bretagne connaît une période de prospérité agricole et commerciale (notamment avec le lin et le chanvre).
Les paysans, les riches familles, les corporations locales… tous voulaient financer leur propre chapelle pour montrer leur foi et leur statut.

➡️ C’est à ce moment qu’on construit le plus de chapelles, et aussi les fameux « enclos paroissiaux » (ensembles église + ossuaire + calvaire).


🚶‍♀️ 4. Une culture du pèlerinage

Les Bretons faisaient (et font encore !) des pardons, de grandes processions religieuses et festives vers une chapelle. Chaque lieu avait son propre pardon avec ses traditions.

➡️ Donc il fallait des chapelles partout, même dans les coins très isolés.


🌄 5. Une géographie dispersée

La Bretagne est une région très rurale, avec une habitat dispersé (pleins de hameaux et petits villages).
Plutôt que d’aller jusqu’à la grande église du bourg, on construisait des chapelles de proximité, parfois à 1 ou 2 km seulement les unes des autres !


En résumé :

Foi profonde + culte local des saints + fierté rurale + culture du pardon + habitat dispersé = des centaines de chapelles.

        Source : chatGPT

Un pignon original à Plonévez-du-Faou

     Original, très original !!! Exit les pignons publicitaires, polluants visuels, place à ceux qui laissent la création artistique s’exprimer. A Plonévez-du-Faou, la municipalité n’a pas hésité, avec l’accord des propriétaires, à faire coloriser artistiquement un pignon donnant sur la rue principale. Une fresque à caractère historique qui suscite curiosité et admiration …

 Réalisée par ZAG, artiste morlaisien de renommée nationale et internationale, lauréat des 2ème et 3ème prix du Concours national Golden Street-art 2024, cette fresque interpelle l’oeil et l’imaginaire. 

Fondu dans le tronc d’un hêtre (Ar Fao), un sage forestier, figure de la nature et de la mémoire, veille, réfléchit.  Il est recouvert d’une couche dorée qui marque la valeur des années passées. 

Il veille sur un renard cybernétique, symbole du futur,  de la technologie, de l’évolution de la nature faite par la main de l’homme : tant dans ses dégâts causés que dans ses réparations.

Dans ce décor mystique de nos forêts, cette fresque évoque l’équilibre fragile entre tradition et progrès. Elle nous invite à réfléchir à notre lien avec le vivant, le temps, et l’avenir…

Touche de couleurs au moment des jours gris, nous souhaitons que tout un chacun se l’approprie et qu’elle devienne symbole sur notre territoire !

                                           Source : la municipalité de la ville

Mon appareil photo

Le Nikon Z6 II est un appareil photo hybride plein format qui reste encore très pertinent en 2025.

🌟 En bref :

Le Nikon Z6 II est la seconde génération du Z6 sorti en 2018. Il corrige certaines faiblesses du premier modèle tout en gardant ses points forts : capteur performant, excellente ergonomie et bonne compatibilité avec les objectifs F via la bague FTZ.


🔍 Caractéristiques principales :

  • Capteur : CMOS plein format (24,5 Mpx)

  • Processeurs : Double EXPEED 6 (meilleure réactivité)

  • Sensibilité ISO : 100 à 51 200 (extensible à 204 800)

  • Rafale : jusqu’à 14 i/s

  • Autofocus : 273 points, meilleur suivi des yeux (humains + animaux)

  • Vidéo :

    • 4K à 60 i/s (avec un léger crop)

    • 10-bit via HDMI

    • N-Log, HLG, et profil flat intégrés

  • Double slot cartes mémoire : CFexpress / XQD + SD UHS-II

  • Écran : tactile inclinable 3,2″ (2,1 Mpts)

  • Viseur électronique : 3,69 Mpts

  • Tropicalisation : oui, comme un boîtier pro Nikon


✅ Ce qu’on aime :

  • Qualité d’image excellente (en photo comme en vidéo)

  • Autofocus bien amélioré vs Z6 (très bon en suivi)

  • Double processeur = plus fluide, plus réactif

  • Construction robuste et agréable en main

  • Vidéo 4K sérieuse (surtout avec le firmware mis à jour)


❌ Ce qui peut freiner :

  • L’autofocus reste en dessous de Sony ou Canon pour le sport ultra-rapide

  • 4K60 avec crop (mais bon, c’est déjà pas mal !)

  • Pas d’écran orientable latéralement (utile en vlog ou en selfie)


Pour qui ?

📷 Photographes généralistes, portrait, mariage, voyage, studio
🎥 Vidéastes semi-pro ou créateurs de contenu sérieux
💼 Parfait pour ceux qui veulent un hybride complet sans aller jusqu’au Z8/Z9, nettement plus onéreux

 

           d’après ChatGPT

Mon drone préféré

Je possède depuis deux ans le DJI Mavic 3 Classic, un drone très apprécié, notamment par les photographes et vidéastes pros (et passionnés !).

🧩 En résumé :

Le Mavic 3 Classic est une version plus « accessible » du Mavic 3 tout court. Il garde la même caméra principale Hasselblad (un vrai bijou), mais se passe de la deuxième caméra téléobjectif pour réduire le prix. DJI vise ici ceux qui veulent une qualité d’image haut de gamme sans les extras coûteux.


📸 Capteur et caméra

  • Capteur CMOS 4/3 de 20 MP, signé Hasselblad – c’est LA grosse force de ce drone.

  • Ouverture variable f/2.8 à f/11 : top pour s’adapter à la lumière.

  • Vidéo jusqu’à 5.1K à 50 fps, ou 4K à 120 fps – ralenti fluide inclus !

  • Profil D-Log 10 bits pour une latitude en post-prod, très utile en photo/vidéo pro.


🕹️ Pilotage et autonomie

  • Jusqu’à 46 minutes de vol (selon DJI – dans la réalité, plutôt autour de 35-40 minutes selon conditions).

  • Transmission vidéo O3+ : fluide, stable, portée jusqu’à 15 km (dans des conditions idéales).

  • Détection d’obstacles omnidirectionnelle avec évitement intelligent (APAS 5.0).

  • Fonctionnalités automatiques : ActiveTrack 5.0, Waypoint Flight, MasterShots, etc.


💼 Pour qui ?

Idéal pour celui qui veut :

  • Une qualité d’image au top (drone de photographe clairement).

  • Un bon équilibre entre performance pro et prix plus doux que le Mavic 3 Pro.

  • Filmer ou shooter dans des environnements complexes grâce à la détection complète.


🪙 Prix (à titre indicatif)

  • Environ 1 600 € (drone seul, sans la télécommande RC Pro qui vaut 300 euros).

  • Peut monter selon la version (avec DJI RC ou packs Fly More).


❓Différences avec les autres Mavic 3 :

ModèleCaméra HasselbladTéléobjectifPrix
Mavic 3 Pro✅ (x2)💸💸💸
Mavic 3 (standard)💸💸
Mavic 3 Classic💸

   d’après ChatGPT et autres sources

Le drapeau breton

Parlons un peu de l’histoire du drapeau breton, aussi appelé le Gwenn-ha-du, ce qui signifie « blanc et noir » en breton.

Origine et création

Le Gwenn-ha-du tel qu’on le connaît aujourd’hui a été créé en 1923 par Morvan Marchal, un architecte, militant breton et artiste engagé dans le mouvement régionaliste. Il voulait doter la Bretagne d’un drapeau moderne, inspiré des principes de l’héraldique, mais aussi symbolique de son histoire et de son identité culturelle.

Description du drapeau

Le drapeau est composé de :

  • neuf bandes horizontales alternant noir et blanc, représentant les neuf provinces historiques de Bretagne :

    • En noir : les cinq diocèses dits « bretonnants » (où on parlait breton) : Cornouaille, Léon, Trégor, Vannetais, et Pays de Saint-Brieuc (ou Penthièvre).

    • En blanc : les quatre diocèses « gallos » (où on parlait le gallo, une langue romane) : Nantais, Rennais, Dolois et Malouin.

  • En haut à gauche (le canton), un champ blanc avec onze mouchetures d’hermine, symbole traditionnel des ducs de Bretagne.

Inspiration

Morvan Marchal s’est inspiré notamment du Stars and Stripes américain pour la disposition des bandes et du canton. L’objectif était de créer un symbole moderne, facilement identifiable, et détaché des symboles monarchiques ou religieux trop anciens ou trop politisés.

Réception et évolution

Au départ, le drapeau n’a pas été officiellement reconnu et était surtout utilisé dans les cercles régionalistes bretons. Mais à partir des années 1970, avec la montée de la revendication culturelle bretonne, il s’est largement démocratisé. Aujourd’hui, le Gwenn-ha-du est un symbole fort de la Bretagne, souvent visible lors de manifestations culturelles, sportives, ou même politiques.

Il n’est pas un drapeau officiel au sens de l’État français (puisqu’il n’y a pas de reconnaissance officielle des régions historiques), mais il est largement reconnu et respecté.

 

              Source: ChatGPT

La chapelle du mont St-Michel de Brasparts

 

La chapelle du Mont Saint-Michel de Brasparts, récemment rénovée, est un vrai bijou breton, à la fois modeste et profondément symbolique. Elle trône au sommet de ce mont avec une allure un peu austère, mais tellement majestueuse dans son environnement.


🏰 Une chapelle perchée dans les cieux

La chapelle a été construite au XVIIe siècle, probablement entre 1670 et 1674, et elle est dédiée à saint Michel archange, comme son nom l’indique. Saint Michel, dans la tradition chrétienne, est le chef des armées célestes, protecteur contre le mal et guide des âmes après la mort. Il est souvent représenté terrassant le dragon — une figure du mal.


⚒️ Architecture et apparence

La chapelle est petite, sobre, et en granit, typique de l’architecture rurale bretonne. Son toit en bâtière et son clocher-mur sont caractéristiques des petites chapelles des monts d’Arrée.

Mais ce qui la rend spectaculaire, ce n’est pas tant son architecture que sa situation : perchée à plus de 380 mètres d’altitude, sur un mont battu par les vents, cerné de landes, de bruyères, de roches et de tourbières. Par temps clair, on a une vue à couper le souffle sur tout le massif des monts d’Arrée et même jusqu’à la mer.


🌬️ Résilience face aux éléments

La chapelle a été restaurée à plusieurs reprises, notamment parce qu’elle est soumise aux intempéries : pluie, vent, givre… En 2022, elle a même été au centre d’un débat local car l’armée voulait y installer une station radar temporaire pendant un exercice militaire, ce qui avait provoqué une vive opposition. Finalement, le projet a été abandonné, et la chapelle a retrouvé son calme.

🙏 Un lieu de spiritualité, mais pas que

Même si elle est un lieu religieux (et qu’elle reste utilisée pour le pardon annuel), la chapelle attire aussi :

  • des randonneurs,

  • des photographes 

  • des amoureux de la Bretagne sauvage,

  • des personnes en quête de silence et de connexion avec la nature.

                                                                                                                                                                  d’après ChatGPT le 13 juin 2025

 

Courses hippiques de Rostrenen

Les courses hippiques de Rostrenen, dans les Côtes-d’Armor (22), sont un événement incontournable de la région, mêlant tradition, ambiance festive et passion du cheval. Elles ont lieu chaque année sur l’hippodrome de Kerhollo, en général au printemps (souvent autour de mai).

Voici quelques infos clés sur ces courses :

📍 Lieu :

Hippodrome de Kerhollo, Rostrenen (au sud de la ville)

🐎 Type de courses :

  • Courses de trot attelé

  • Courses de trot monté

  • Parfois quelques épreuves de galop (moins fréquent)

📆 Nombre de réunions :

  • Généralement 1 grande réunion par an, qui attire beaucoup de public (plus de 2 000 personnes certaines années)

🔢 Nombre de courses :

  • Environ 7 à 9 courses sur la journée

🐴 Nombre de chevaux engagés :

  • En moyenne 80 à 100 chevaux participent à l’ensemble des courses

🎉 Ambiance :

  • C’est un événement local avec buvettes, restauration, paris sur place, animations pour enfants parfois

  • Très familial et ancré dans la culture bretonne, avec souvent un fond musical local

🏇 Organisation :

  • Les courses sont organisées sous l’égide de la Société des Courses de Rostrenen, affiliée à France Galop ou LeTrot selon les types de courses

          d’après ChatGpt le 7 juin 2025

La vallée des Saints

Quelques statues

La Vallée des Saints à Carnoët, c’est un lieu assez unique, à la croisée entre le mégalithique, le spirituel et le contemporain. Imaginez un champ perché sur une colline, avec vue à 360°, parsemé de statues géantes en granit, représentant les saints bretons les plus emblématiques, certains très connus, d’autres oubliés du grand public. La Vallée des Saints a été lancée en 2008, portée par deux passionnés d’histoire et de culture bretonne, Philippe Abjean et Sébastien Minguy. Leur idée ? Créer une sorte de « l’Île de Pâques bretonne », en sculptant des centaines de saints bretons (il y en aurait eu plus de 1 000 dans les anciens récits !) pour transmettre la mémoire de ces figures populaires.Les statues sont taillées sur place, dans du granit breton, parfois local, parfois venu d’autres carrières, par des sculpteurs contemporains qui donnent chacun leur style. Certaines statues sont très figuratives, d’autres plus stylisées, voire abstraites. Mais toutes imposent une forte présence visuelle et spirituelle. Chaque statue représente un saint ou une sainte : Saint Herbot, Sainte Anne, Saint Piran, Saint Gildas, Saint Malo… Chacun est accompagné d’un petit panneau explicatif qui raconte son histoire, ses légendes, et sa zone d’influence en Bretagne. Ces saints sont souvent des moines venus des îles britanniques au Haut Moyen Âge, qui ont parcouru la Bretagne à pied pour évangéliser la région, mais aussi pour y planter des graines de culture et de traditions.Certains avaient des dons particuliers : guérir les maladies, protéger les marins, fertiliser les champs, calmer les bêtes… Il y a donc un ancrage très fort avec le monde paysan, maritime, et les paysages. D’un point de vue photographique, c’est un terrain de jeu superbe. Les statues sont monumentales, jusqu’à 4-5 mètres de haut parfois, et se dressent face au ciel, aux collines et au vent. La lumière bretonne joue sur le granit, qui prend des teintes très subtiles selon l’heure de la journée. Ce n’est pas un musée figé. Chaque année, de nouvelles statues sont ajoutées. Des événements, des ateliers, et des visites guidées rythment la vie du site. Et il y a ce petit quelque chose d’intemporel : on s’y sent hors du temps, entre légende, mémoire et land art.

                                              d’après ChatGPT

 La Chapelle de saint-Herbot

 

La chapelle Saint-Herbot est  nichée dans un petit vallon verdoyant à Plonévez-du-Faou. Cette chapelle est une petite merveille de l’architecture gothique bretonne, mais aussi un lieu profondément lié aux traditions paysannes et au culte local des saints.

Une chapelle et un saint très attachés au monde rural

Saint Herbot, c’est un saint très populaire en Bretagne, surtout chez les éleveurs. On le prie tout particulièrement pour protéger les vaches et assurer une bonne production de lait. Il est d’ailleurs souvent représenté avec une vache à ses pieds. La légende dit qu’il avait un don pour les animaux, notamment pour calmer les bovins et favoriser leur fécondité.

L’origine et l’évolution du lieu

La chapelle actuelle date principalement du XVe et XVIe siècles, même si le culte de Saint Herbot est bien plus ancien. Elle est bâtie sur un ancien lieu de pèlerinage. Ce qui frappe tout de suite, c’est la richesse sculpturale du bâtiment : des gargouilles, des animaux fantastiques, des scènes bibliques, et même des représentations de la vie quotidienne bretonne de l’époque.

Autre détail curieux : la présence de plusieurs statues et de têtes sculptées qui évoquent parfois des visages humains un peu grotesques ou expressifs. C’est très typique de l’art religieux breton, où le sacré et le populaire se mélangent.

Le pardon de Saint-Herbot

Chaque année, à la fin mai ou début juin, se tient le « pardon de Saint-Herbot », une fête religieuse et traditionnelle typique de la Bretagne. Les paysans y amenaient autrefois leurs vaches pour les faire bénir. Même si cette coutume s’est un peu perdue, le pardon est toujours célébré, avec des messes, des processions, et une ambiance à la fois pieuse et festive.

Une chapelle entre spiritualité et superstition

Ce qui rend l’histoire de Saint-Herbot encore plus fascinante, c’est le mélange entre chrétienté et croyances anciennes. Le saint est parfois vu comme une figure un peu rebelle ou rustique, capable de punir ceux qui le négligent (on raconte même qu’il aurait maudit des champs ou des vaches dans certaines histoires !). Il y a là un vrai lien avec les anciennes croyances celtiques, où les saints se comportaient presque comme des divinités locales.


C’est un lieu qui respire l’âme bretonne : une chapelle modeste mais très travaillée, liée au monde paysan, aux croyances populaires et à un paysage puissant. Si tu y vas tôt le matin ou par temps brumeux, tu sens vraiment toute cette charge symbolique, entre la pierre, la foi et les légendes.

                                     

d’après ChatGPT le 5 juin 2025

Le lac de Brennilis

Ah, le lac de Brennilis ! C’est un coin assez particulier, à la fois paisible et chargé d’histoires, situé au cœur des Monts d’Arrée, en Bretagne, dans le Finistère. Il ne s’agit pas d’un lac naturel à proprement parler, mais d’un lac artificiel créé dans les années 1930 avec la construction d’un barrage sur l’Ellez, une rivière de la région. L’objectif à l’origine était de fournir de l’électricité via une centrale hydroélectrique.

Mais ce qui rend vraiment ce lac célèbre (ou parfois un peu controversé), c’est la centrale nucléaire expérimentale de Brennilis, située juste à côté. C’était une centrale à eau lourde refroidie au gaz, construite dans les années 1960, à l’époque où la France expérimentait différentes technologies nucléaires. Elle a été arrêtée définitivement dans les années 1980, et depuis, elle fait l’objet d’un démantèlement complexe et très surveillé, car c’est un des rares exemples de démantèlement complet en France. Un vrai casse-tête technique et environnemental, qui soulève pas mal de questions sur la gestion des déchets et la sécurité à long terme.

Mais au-delà de cet aspect industriel, le lac reste un lieu très apprécié pour son ambiance étrange et envoûtante. On est en plein cœur des landes bretonnes, dans une nature un peu austère, battue par le vent, avec des tourbières et une lumière parfois presque mystique. Beaucoup de gens y vont pour se promener, pêcher, ou juste profiter du silence. C’est un endroit qui inspire, surtout si on aime les ambiances un peu brumeuses et sauvages.                                                                                                                                           d’après ChatGPT

L’idole des jeunes

Il était une voix. Une voix rauque et puissante, qui grattait le cœur comme une guitare saturée. Johnny Hallyday, c’était un nom qui claquait comme une promesse de frissons. Il avait le cuir du rock et le regard des cow-boys solitaires, de ceux qui roulent sur l’asphalte des ballades tristes et des colères électriques.

Né Jean-Philippe Smet dans un Paris d’après-guerre, il s’était réinventé en légende. Dès les premières années, il avait compris que la scène était son refuge, son royaume, sa vérité. Il ne chantait pas, il vivait ses chansons. Il hurlait l’amour, la douleur, le manque, la liberté, comme s’il brûlait à chaque couplet.

Son corps était une carte de ses excès. Ses tatouages, ses cicatrices, ses regards jetés au ciel. On sentait chez lui l’homme en fuite, toujours en mouvement, toujours au bord du gouffre, mais debout. Quand il chantait « Que je t’aime », la France entière frissonnait. Quand il hurlait « Allumer le feu », les stades devenaient volcans.

Il avait des failles, des silences, des gouffres. Des amours perdues, des enfants qu’il aimait, une solitude d’ogre tendre. Il était l’homme des paradoxes : showman géant et homme fragile, star planétaire et gamin de Paris.

Johnny n’était pas parfait. Mais il était vrai.

Le 5 décembre 2017, la scène est restée vide. Mais dans les micros, les guitares, les regards, il est encore là.
Un peu comme un feu de camp qui continue de réchauffer longtemps après que la flamme s’est éteinte.

                                                                                                                                                                                                                                                                 Source ChatGPT le 4 juin 2025